Avec cette deuxième génération de Sorento, Kia a tenu a se défaire de l’image un peu «rustique» de la première mouture, pour lorgner un peu plus vers le segment des SUV, si possible haut de gamme. Le résultat visuel est à l’image des dernières productions de la marque : dynamique, attirant et doté d’une vraie personnalité. Ajoutez-y une motorisation diesel 2.2 CRDI de 197 chevaux puissant et sobre, et sur le papier, ceSorento nouveau semble avoir toutes les cartes en main pour se tailler une place de choix sur le segment, ou tout du mois, pour inquiéter sérieusement son cousin HyundaiSanta Fe.
Fraichement débarqué dans nos contrées, le Kia Sorento rompt catégoriquement avec les lignes peu inspirées et vaguement puisées au Mercedes ML de première génération de son prédécesseur pour se doter d’une personnalité plus affirmée.
A l’avant, le gros SUV de Kia affiche un large sourire, inspiré de la gamme américaine (Optima, Forte) du constructeur, et doté de la nouvelle calandre à jonc chromé enserrant le logo en son centre. Le bouclier a aussi été travaillé avec attention, avec de larges échancrures supportant les feux antibrouillard et souligné d’un épais renfort en plastique aux faux airs de pare-buffle. Pas de doute, ça en jette !
L’arrière est en revanche beaucoup plus massif, avec sa vitre pratiquement verticale et ses gros blocs optiques carrés situés très haut sur le hayon. De profil, l’allure suit la même tendance, avec des vitres latérales aux arrêtes vives où seule le dessin de la vitre de custode vient apporter une touche de dynamisme.
Et pour soigner sa nouvelle apparence plus haut de gamme, le Sorento reçoit des rétroviseurs intégrant les rappels de clignotant, ainsi que des poignées de portes et barres de toit chromées. So shiny.
A l’avant, le gros SUV de Kia affiche un large sourire, inspiré de la gamme américaine (Optima, Forte) du constructeur, et doté de la nouvelle calandre à jonc chromé enserrant le logo en son centre. Le bouclier a aussi été travaillé avec attention, avec de larges échancrures supportant les feux antibrouillard et souligné d’un épais renfort en plastique aux faux airs de pare-buffle. Pas de doute, ça en jette !
L’arrière est en revanche beaucoup plus massif, avec sa vitre pratiquement verticale et ses gros blocs optiques carrés situés très haut sur le hayon. De profil, l’allure suit la même tendance, avec des vitres latérales aux arrêtes vives où seule le dessin de la vitre de custode vient apporter une touche de dynamisme.
Et pour soigner sa nouvelle apparence plus haut de gamme, le Sorento reçoit des rétroviseurs intégrant les rappels de clignotant, ainsi que des poignées de portes et barres de toit chromées. So shiny.
Mais l’apparence plus massive du Sorento n’est pas qu’une illusion. Il gagne en effet dix centimètres en longueur par rapport à son prédécesseur, pour atteindre désormais 4,68 mètres tout en étant légèrement plus bas. La ligne générale s’en voit du coup rallongée. Malgré cette prise de carrure, le nouveau SUV de Kia se montre plus léger que son prédécesseur de quelque 215 kilos. Une perte de poids conséquente, qui devrait profiter pleinement dynamisme de l’engin. A vérifier dans la troisième partie de cet essai.
Et si le Sorento évolue dans le sens du SUV, il n’en oublie pas pour autant ses capacités en tout-terrain puisqu’il reste doté d’une véritable transmission intégrale avec blocage de différentiel pour les passages les plus délicats.
Et si le Sorento évolue dans le sens du SUV, il n’en oublie pas pour autant ses capacités en tout-terrain puisqu’il reste doté d’une véritable transmission intégrale avec blocage de différentiel pour les passages les plus délicats.
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