Voiture plaisir le coupé Volkswagen Scirocco. Mais l’arrivée du diesel ne risque-t-il pas de gâter un peu la recette ? Le 2 litres TDI de 140 chevaux répond assez rapidement à la question.
Design
S’il y a en un qui ne manque ni de caractère ni de style, c’est bien lui. Avec sa plastique sensuelle, le Volkswagen Scirocco fait tourner les têtes sur son passage. Quel que soit l’angle de vue, la rétine a en effet du mal à résister. De profil, le coupé allemand apparaît trapu avec sa hauteur limitée. Les petites surfaces vitrées et les bas de caisse creusés rajoutent une once de dynamisme et d’agressivité, comme le toit fuyant souligné par un becquet.Lorsqu’on le regarde droit dans les yeux, monsieur affiche un faciès aiguisé. La raison : ses phares sont particulièrement effilés en-dessous d’un capot plongeant. La large entrée d’air grillagée façon nid d’abeilles fait, pour sa part, dans le sportif.
Mais la vue la plus spectaculaire se situe certainement à l’autre extrémité du véhicule, voire de trois-quarts arrière. Là, le Scirocco offre de belles rondeurs. Il semble, en fait, camper sur ses hanches puissantes. Et comme pour encore davantage les souligner, les feux généreux s’incrustent sur ces courbes inspirées. On note, enfin, l’épaisseur du bandeau de pare-chocs qui finit de donner un air costaud à l’ensemble.
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